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Книги Victor Hugo
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«Une seule collection de lecture pour tous niveaux! Structure du livre: — Une collection de lecture en français pour se divertir, s'enrichir, perfectionner ses connaissances des grands classiques de la littérature française. — Cette collection est accessible dès le niveau débutant, elle est organisée en quatre niveaux: A1, A2, B1, B2. — Un dossier pédagogique à la fin de l’œuvre est renforcé par des activités de compréhension, des fiches thématiques et des corrigés intégrés. — La définition des mots et des expressions difficiles figure en bas de page. Descriptif: «Après dix-neuf ans de prison, Jean Valjean est enfin libre. Mais, il est considéré comme un «homme dangereux» et tout le monde le rejette. Seul, Monseigneur Myriel l'accueille et lui offre un repas. L'évêque lui montre la route du bien. Jean Valjean s'en sortira-t-il...?» |
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«Claude Gueux vole pour nourrir sa famille et il est condamné à cinq ans de prison. Il tue le directeur des ateliers qui le persécutait et, condamné à mort, il est exécuté le 8 juin 1832. «Pourquoi cet homme a-t-il volé? Pourquoi cet homme a-t-il tué?» Trente ans avant d'imaginer le Jean Valjean des Misérables, Victor Hugo, en rapportant un fait réel, s'engage pour une réforme du système pénal et pour une plus grande justice sociale. Le texte intégral annoté. Des questionnaires au fil du texte. Des documents iconographiques exploités. Une présentation de Victor Hugo et de son époque. Un aperçu du genre multiple de cette œuvre. Un groupement de textes: «Crimes et châtiments».» |
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«Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée! Je n'ai qu'une pensée, qu'une conviction, qu'une certitude: condamné à mort!» Victor Hugo nous donne juger, sans autre dossier qu'un journal intime, la cause d'une main criminelle mais aussi d'un être jeune, impuissant et horrifié face au défi de violence de la guillotine. Le texte intégral annoté, précédé de la préface de 1832. Un questionnaire bilan de première lecture. Des questionnaires d'analyse de l'œuvre. Six corpus accompagnés de questions d'observation, de travaux d'écriture et de lectures d'images. Une présentation de Victor Hugo et de son époque. Un aperçu du genre de l'œuvre et de sa place dans l'histoire littéraire.» |
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Victor Hugo nous fait vivre intensément les derniers moments d’un être que la justice des hommes a condamné à mort. Espoir et désepoir, joies et souffrances, le séisme moral que subit cet homme, l’électrochoc de sa fin prochaine révoltent le lecteur. Ce livre est si fort, si intense, si éclatant, qu’au fond de notre âme quelque chose se fêle... |
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«Bien sûr vous connaissez Gavroche, le petit Parisien, avec ses mains enfoncées dans les poches d'un pantalon trop grand, sa gouaille et ses chansons! Son image familière est devenue un symbole de la ville qui l'abrite: Paris. Mais c'est dans le roman de Victor Hugo, Les Misérables, qu'il a commencé à battre le pavé. Gamin de la rue abandonné mais volant au secours des opprimés, méprisé mais joyeux, insolent mais sensible, il est l'un des personnages les plus attachants de la littérature française. A travers le destin tragique de cette «petite grande âme», Victor Hugo plaide la cause de tous les enfants malheureux.» |
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«C'est un tel classique qu'on a toujours l'impression de l'avoir déjà lu... ou vu: avec Michel Bouquet dans le rôle de Javert, ou bien Depardieu. Relire donc Les Misérables, publié par Victor Hugo en 1862, offre le plaisir de la reconnaissance et du recommencement. Toujours on sera emporté par la tension romanesque du livre, ses figures inoubliables, ses langues multiples — n'oublions pas que Hugo est le premier à introduire l'argot et la langue populaire dans le français écrit, ses histoires et son temps. De la récidive malheureuse de Jean Valjean, frais libéré du bagne, à sa progressive rédemption, de l'enfance désastreuse de Cosette à son idylle avec Marius, de la figure sacrificielle de Fantine aux personnages sinistres de Thénardier et de Javert, le roman propose une belle leçon d'humanité vivante. «Je viens détruire la fatalité humaine, écrit Hugo, je condamne l'esclavage, je chasse la misère, j'enseigne l'ignorance, je traite la maladie, j'éclaire la nuit, je hais la haine. Voilà ce que je suis et voilà pourquoi j'ai fait Les Misérables.» |
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«Quel miracle que ta pièce, mon pauvre bien-aimé... Jamais je n'avais rien entendu de si magnifique... C'est une richesse, une magnificence, un éblouissement... mon esprit en est encore plus obscurci, comme quand les yeux ont trop longtemps fixé le soleil...» Juliette Drouet. «A propos, Ruy Blas est une énorme bêtise, une infamie en vers...» Balzac. «Quelle brusque et prodigieuse fanfare dans la langue que ces vers de Victor Hugo!» Emile Zola. «... ou Ruy Blas est une gageure contre le bon sens, ou c'est un acte de folie.» Gustave Planche. Un texte qui soulève des passions aussi contraires... Il ne reste vraiment plus qu'à le lire si l'on veut s'en faire une idée.» |
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