«La Cerisaie, piece de tous les malentendus entre l'auteur et ses admirateurs. Comedie, pour Tchekhov. Tragedie pour Stanislavski et tous les metteurs en scene qui lui ont succede. Inaccessible aux Francais, pense aussi Tchekhov, qui ecrit a Olga Knipper: «Ma douce, mon petit cheval, a quoi bon traduire ma piece en francais? C'est grotesque! Les Francais ne comprendront ni Lopakhine ni la vente de la propriete et ne feront que s'ennuyer. Il ne faut pas le faire, ma douce. C'est inutile.» Tchekhov, le plus joue, le plus aime, le plus celebre des incompris.»