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Livre de Poche
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«Un notable corse qui n'hésite pas à tuer son fils coupable d'avoir dénoncé un bandit aux gendarmes, un roi de Suède qui prophétise l'assassinat de son successeur, un jeune officier insouciant qui découvre les horreurs de la guerre, une révolte sur un négrier, un combat naval où l'on expie une déloyauté aux cartes, des matadors mourants. Dans les nouvelles de «Mosaïque», Mérimée fait le tableau de l'énergie individuelle poussée à son comble, en crimes et en vertus. Même les salons des gens du monde, dans le murmure banal des conversations, bruissent des tortures du remords et de la jalousie, s'illuminent de brusques envies de meurtre. Et pour dire tout cela, pour raconter au lecteur intelligent et complice les forces des passions et l'ironie du sort, une simplicité parfaite et continue, qui serre la vérité au plus près, un style dépouillé et bref, qui rend chaque trait essentiel. Mérimée sait que la bonne littérature ne se paie pas de mots.» |
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«Sur une île au large de Cherbourg, un vieil homme et une jeune fille vivent isolés, entourés de serviteurs et de gardes du corps, à l'abri de tout reflet; en aucun cas Hazel ne doit voir son propre visage. Engagée pour soigner la jeune fille, Françoise, une infirmière, va découvrir les étranges mystères qui unissent ces deux personnages. Elle saura pourquoi Hazel se résigne, nuit après nuit, aux caresses du vieillard. Elle comprendra au prix de quelle implacable machination ce dernier assouvit un amour fou, paroxystique...Au cœur de ce huis clos inquiétant, la romancière du «Sabotage amoureux» et d'»Attentat» retrouve ses thèmes de prédilection: l'amour absolu et ses illusions, la passion indissociable de la perversité.» |
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Les Vignes de Sainte-Colombe, Ce que vivent les hommes... les sagas de Christian Signol ressuscitent avec bonheur des époques révolues, des personnages inoubliables. Du milieu du XIXe siècle à l'aube du XXe siècle, le romancier fait revivre ici une petite fonderie, aux confins du Périgord et du Limousin, sur laquelle règne la dynastie des Grandval. Dans la vallée de l'Auvézère, on est maître de forges de père en fils, et Fabien, l'aîné, succédera au patriarche Eloi, fût-ce au prix de son bonheur, de sa liberté. Ce roman grave et prenant est un magnifique hommage à ces hommes du fer et du feu habités par la passion de leur charge, balayés par les vents de l'Histoire et du progrès. |
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Vingt histoires, à dévorer, à murmurer, à partager. Vingt manières de rire et de s'émouvoir. Vingt prétextes pour penser à ce que l'on oublie et pour voir ce que l'on cache. Vingt chemins pour aller du plus léger au plus sérieux, du plus grave au plus doux. Vingt façons de se souvenir de ce qu'on a été et de rêver à ce que l'on sera. Vingt regards pour saisir le monde, dans sa lumière et dans ses ombres. Vingt raisons de rester des enfants ou de le redevenir. Vingt sourires. Vingt bonheurs. Vingt battements de cœur. |
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«Je peux planter un bâton, il prendra», dit Tchékhov, parlant de ses dons de jardinier. De la même façon, il plante ses personnages autour d'une table et les voilà aussitôt qui jaillissent de la scène, comme d'un terreau. «Les gens dînent, ils ne font que dîner et pendant ce temps s'édifie leur bonheur ou se brise leur vie.» La Mouette, par exemple, où le temps n'en finit pas de s'écouler, où l'amour n'est jamais payé de retour, s'achève même sur une tragédie. Jardinier des lettres, Tchékhov sème des mots simples, de petites graines grises, sans odeur ni saveur particulières et ô miracle, nous les voyons fleurir comme en rêve, prendre des couleurs d'une tendresse surnaturelle. Et dans le silence, ce que nous entendons, c'est la musique de l'âme.» |
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«La porte de la chambre fermée à clef «à l'intérieur» les volets de l'unique fenêtre fermés, eux aussi, à «l'intérieur», pas de cheminée. Qui a tenté de tuer Mlle Stangerson et, surtout, par où l'assassin a-t-il pu fuir de la chambre jaune? C'est le jeune reporter, Rouletabille, limier surdoué et raisonnant par «le bon bout de la raison, ce bon bout que l'on reconnaît à ce que rien ne peut le faire craquer», qui va trouver la solution de cet affolant problème aux termes d'une enquête fertile en aventures et rebondissements. Tenant en haleine le lecteur de la première à la dernière page, Le Mystère de la Chambre jaune, est devenu un classique du roman criminel.» |
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Pour Blanche Frontenac, restée veuve avec cinq enfants, le bonheur personnel n'existe pas. La seule chose essentielle est d'agir en vue du bien commun et dans l'intérêt de la famille. Quand le moment sera venu, Jean-Louis, le brillant aîné, obéira aux mêmes liens puissants du sang. Malgré des aspirations différentes, il reprendra l'affaire familiale, deviendra le maître de la fortune afin de protéger les cadets et de maintenir à jamais le mystère Frontenac. |
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Sans un événement fortuit, le geste de Frank Friedmaier, cette nuit-là, n'aurait eu qu'une importance relative. Frank, évidemment, n'avait pas prévu que son voisin Gerhardt Holst passerait dans la rue. Or, le fait que Holst était passé et l'avait reconnu changeait tout. Mais cela aussi, et tout ce qui devait s'ensuivre, Frank l'accepta. |
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«C'était chaque fois la même chose. Il avait dû soupirer en se couchant: «Demain, je fais la grasse matinée». Et Mme Maigret l'avait pris au mot, comme si les années ne lui avaient rien enseigné, comme si elle ne savait pas qu'il ne fallait attacher aucune importance aux phrases qu'il lançait de la sorte. Elle aurait pu dormir tard, elle aussi. Elle n'avait aucune raison pour se lever de bonne heure.» |
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«Les Terriens sont-ils comestibles?», «Comment gèrent-ils leurs déchets?» «Sont-ils étanches?», «Pourquoi décorent-ils leurs tanières avec leurs propres visages?», «Nous ont-ils vus?». Autant de questions vitales posées par des observateurs extraterrestres ayant découvert par erreur notre planète. Les réponses sont dans ce petit guide de découverte des Terriens à l'usage des voyageurs galactiques. À lire également: un entretien exclusif entre Bernard Werber et le neuropsychiatre Boris Cyrulnik. 250 photos du film réalisé par Bernard Werber, produit par Claude Lelouch; extraits du scénario original de Bernard Werber et textes inédits; images du tournage.» |
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«Victor Hugo, dans ce célèbre roman, évoque un Moyen Age pittoresque représentatif de la passion des romantiques pour le «gothique», dont l'auteur deviendra désormais le chef incontesté. Par de saisissantes fresques de la Cour des Miracles, Victor Hugo ressuscite le peuple du Paris de Louis XI qui gravitait autour de Notre-Dame, monde architectural et religieux, opposant ainsi sans cesse le sublime au grotesque. Cette puissante antithèse se confirme encore dans les principaux personnages illustrant la fatalité des passions: le Mal, le prêtre Frollo, le Bien, le monstre Quasimodo et la Victime, la belle Esméralda.» |
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«Quelque part, loin, très loin, se trouve une île que ses habitants appellent Aeden. Là, perchée sur un haut plateau, une ville: Olympie. Dans son cœur, une étrange institution, l'école des Dieux, et ses professeurs: les douze dieux de la mythologie grecque, chargés d'enseigner l'art de gérer les foules d'humains pour leur donner l'envie de survivre, de bâtir des cités, de faire la guerre, d'inventer des religions ou d'élever le niveau de leur conscience. La nouvelle promotion? Cent quarante-quatre élèves dieux qui vont devoir s'affronter à travers leurs peuples, leurs prophètes, chacun avec son style de divinité. Mais la vie sur Aeden n'est pas le paradis. Un élève essaie de tuer ses congénères, un autre est tombé fou amoureux du plus séduisant des professeurs, Aphrodite, déesse de l'amour, et tous se demandent quelle est cette lumière là-haut sur la montagne qui semble les surveiller...Après Les Thanatonautes et L'Empire des anges, Bernard Werber nous entraîne encore plus loin dans la découverte des spiritualités et des mythologies. A la fin de cette extraordinaire saga où se mêlent aventure, suspense et humour, vous vous poserez, vous aussi, la question «Et vous, si vous étiez Dieu, vous feriez quoi?» |
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Après avoir rencontré Zeus au sommet de la montagne d'Aeden, Michael Pinson retrouve sa classe d'élèves dieux pour la partie finale. Ayant échoué à cet examen, il commet l'irréparable: tuer un autre élève dieu. Condamné, il va connaître les affres d'une vie mortelle avec les perspectives qu'offre le savoir divin. Cependant, sur la Terre 18, il rencontre le grand amour et s'aperçoit que même mortel, on peut changer les choses. Il ne pourra cependant pas aller jusqu'au bout de cette expérience nouvelle car une mission de la plus haute importance lui est confiée: participer à la grande odyssée vers le sommet de la deuxième montagne, jusqu'au Créateur, pour connaître enfin le Grand Secret de l'Univers. |
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«Un soir, ainsi qu'elle en a l'habitude à l'occasion de grandes solennités, la comtesse de Dreux-Soubise décide de porter le magnifique collier autrefois destiné à Marie-Antoinette et qui avait donné lieu à l'»affaire du collier». Avant de se coucher, elle le confie à son mari qui le dépose à sa place habituelle, dans un petit cabinet attenant à la chambre et dont le verrou est fermé de l'intérieur. Au réveil, le collier demeure introuvable...Dans les cinq nouvelles de ce volume, on retrouve Arsène Lupin sous diverses identités, à la fois enquêteur et voleur, gentleman et cambrioleur. Ce volume comprend: Le Collier de la reine, La Perle noire, Au sommet de la tour, La Carafe d'eau et La Lettre d'amour du roi George.» |
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Novembre, écrit au cours des années 1841-1842, est une bonne initiation à l'œuvre de Flaubert. Il s'agit d'un texte de jeunesse hanté par les thèmes romantiques — exaltation de soi, aspiration à l'infini, sentiment de la solitude et de la mort, amour impossible, qui inscrit Flaubert danse la lignée des écrivains de son temps: Chateaubriand ou Musset. Le personnage féminin du récit est Marie, une jeune prostituée au grand cœur. Son portrait anticipe la place singulière qu'occuperont le désir féminin et l'amour dans l'œuvre de l'écrivain. Marie, qui affirme la violence de sa sensualité, apparaît comme la face cachée de Madame Bovary. Ce renversement marque bien cette lutte intérieure par laquelle Flaubert s'efforcera de gommer son romantisme de jeunesse, d'en maîtriser le lyrisme pour se forger son style. |
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La vie a tout offert à l'écrivain Balthazar Balsan et rien à Odette Toulemonde. Pourtant, c'est elle qui est heureuse. Lui pas. Leur rencontre fortuite va bouleverser leur existence. Huit récits, huit femmes, huit histoires d'amour. De la petite vendeuse à la milliardaire implacable, de la trentenaire désabusée à une mystérieuse princesse aux pieds nus en passant par des maris ambigus, des amants lâches et des mères en mal de filles, c'est une galerie de personnages inoubliables qu'Eric-Emmanuel Schmitt poursuit avec tendresse dans leur quête du bonheur. |
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Le plus beau des rêves: Bâtir ailleurs une nouvelle humanité qui ne fasse plus les mêmes erreurs. Le plus beau des projets: Construire un vaisseau spatial de 32 km de long propulsé par la lumière et capable de faire voyager cette humanité pendant plus de 1000 ans dans les étoiles. La plus folle des ambitions: Réunir des pionniers idéalistes qui arrivent enfin à vivre ensemble en harmonie. Et au final la plus grande des surprises... |
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«On retrouve dans Le Parfum de la dame en noir tous les personnages du fameux Mystère de la chambre jaune. Grâce à Rouletabille, le mariage de Robert Darzac et de Mathilde Stangerson a enfin eu lieu et la mort de leur ennemi est officiellement constatée. A peine partie en voyage de noces, cependant, la belle Mathilde appelle Rouletabille à son secours. Leur impitoyable ennemi est réapparu! La situation devient alors angoissante: disparition, crime...Le mystère s'épaissit. Le jeune reporter Rouletabille aura besoin de tout son flair et de son intelligence hors pair pour venir à bout de cette véritable «histoire du diable».» |
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5 octobre 1908: Adolt Hitler recalé. Que se serait-il passé si l'Ecole des beaux-arts de Vienne en avait décidé autrement? Que serait-il arrivé si, cette minute-là, le jury avait accepté et non refusé Adolf Hitler, flatté puis épanoui ses ambitions d'artiste? Cette minute-là aurait changé le cours d'une vie, celle du jeune, timide et passionné Adolf Hitler, mais elle aurait aussi changé le cours du monde... |
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J'ai franchi trois fois la ligne, la première fois en fraude, avec l'aide d'un passeur, en quelque sorte, une fois moins légitimement, et je suis sans doute un des rares à être retourné de plein gré à son point de départ. |
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