«Un serin vole du miroir, et se perche sur son epaule. «Un nouvel ami», dit-elle, et elle l'attira sur sa main. «Il est destine a mes petits. Il est si joli! Regardez-le. Quand je lui donne du pain, il bat des ailes, et becquete si gentiment! Il me baise aussi: voyez». Lorsqu'elle presenta sa bouche au petit animal, il becqueta dans ses douces levres. «Il faut aussi qu'il vous baise», dit-elle, et elle me tendit l'oiseau. Son petit bec passa des levres de Charlotte aux miennes, et ses picotements furent comme un souffle precurseur, un avant-gout de jouissance amoureuse. «Il mange aussi dans ma bouche», dit-elle. Je detournai le visage.»