«Comme le dit très justement le gendarme Poustacrouille, qui participa à la tuerie finale, «tendre la joue c'est bien joli», mais que faire quand on a en face de soi «des gens qui veulent tout détruire?» On crache sur le pays, la famille, l'autorité, non mais des fois! Quelle engeance, ces anars! Et quelle idée aussi de croire qu'on va tout révolutionner en enlevant l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris!»