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Gallimard-Folio
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Toutes les réponses aux questions des 9-15 ans sont dans La grande encyclopédie! Plus de 9000 entrées classées en 10 grands chapitres pour explorer ses thèmes favoris, décrypter les enjeux contemporains, connaître tous les savoirs de référence et réussir ses exposés. Une mise en page séduisante et structurée pour aiguiser la curiosité et faciliter un accès rapide à l'information. Des textes concis et accessibles, validés par des spécialistes, et plus de 2500 illustrations en couleurs (photos, cartes ou schémas) pour comprendre et retenir l'essentiel. |
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Des exercices simples et ludiques pour progresser à son rythme, à la maison ou en vacances, sur le programme de graphisme-écriture de la petite section. |
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Des pages plastifiées pour jouer et dessiner avec un feutre effaçable (memory, 7 différences, etc.), 5 jeux à détacher (dominos, cartes, jeu de l'oie avec ses dés, masques, loto), 5 enveloppes pour ranger les jeux, 5 planches d'autocollants électrostatiques, 5 paysages à décorer avec les autocollants... De quoi jouer pendant des heures! |
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Des exercices simples et ludiques pour progresser à son rythme, à la maison ou en vacances, sur le programme de maths de la petite section. Maths: pour connaître les chiffres de 1 à 6, ajouter une quantité ou comparer des quantités. Observation: pour distinguer des formes, classer et trier des objets, situer des objets dans un espace délimité. Des devinettes pour les petits curieux conçues en lien avec les livres de la collection Mes Premières Découvertes. Des conseils pour les adultes afin de mieux comprendre l'objectif pédagogique de chaque activité. |
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«Il faut toujours une s?paration d'avec les autres gens autour de la personne qui ?crit les livres. C'est une solitude essentielle. C'est la solitude de l'auteur, celle de l'?crit. Pour d?buter la chose, on se demande ce que c'?tait ce silence autour de soi. Et pratiquement ? chaque pas que l'on fait dans une maison et ? toutes les heures de la journ?e, dans toutes les lumi?res, qu'elles soient du dehors ou des lampes allum?es dans le jour. Cette solitude r?elle du corps devient celle, inviolable, de l'?crit. Je ne parlais de ?a ? personne. Dans cette p?riode-l? de ma premi?re solitude j'avais d?j? d?couvert que c'?tait ?crire qu'il fallait que je fasse. J'en avais d?j? ?t? confirm?e par Raymond Queneau. Le seul jugement de Raymond Queneau. Cette phrase: «Ne faites rien d'autre dans la vie que ?a, ?crire». Ecrire, c'?tait ?a la seule chose qui peuplait ma vie et qui l'enchantait. Je l'ai fait. L'?criture ne m'a jamais quitt?e».» |
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«Lorsqu'il meurt le 31 ao?t 1867, ? quarante-six ans, Baudelaire emporte avec lui, entre autres promesses d??ues, celle de raconter sa vie — de venger sa vie. Les fragments qui nous sont parvenus de cette entreprise parall?le, de confession et de col?re, se rassemblent autour de trois ?uvres en projet: Fus?es, o? l'intention autobiographique n'appara?t encore qu'en filigrane; Mon c?ur mis ? nu, o? s'affirme avec violence le malaise de l'ambigu?t? — se tourner vers soi ou contre les autres; La Belgique d?shabill?e, cette «pauvre Belgique» dont on pr?sente ici le dossier complet et qui e?t pris la forme d'un pamphlet dirig? contre les Belges et, ? travers eux, contre le genre humain.» |
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Je me sens coupable, dit-il. Je me suis repos? b?tement sur les bons sentiments que cette fille me porte, mais ce n'est pas d'une moche petite tentative de s?duction qu'il s'agissait. Nous voulions b?tir un vrai trio, une vie ? trois bien ?quilibr?e ou personne ne se serait sacrifi?: c'?tait peut-?tre une gageure, mais au moins ?a m?ritait d'?tre essay?! Tandis que si Xavi?re se conduit comme une petite garce jalouse, si tu es une pauvre victime pendant que je m'amuse ? faire le joli c?ur, notre histoire devient ignoble. |
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«Comme tu tiens ? ta puret?, mon petit gars! Comme tu as peur de te salir les mains. Eh bien, reste pur! A quoi cela servira-t-il et pourquoi viens-tu parmi nous? La puret?, c'est une id?e de fakir et de moine. Vous autres, les intellectuels, les anarchistes bourgeois, vous en tirez pr?texte pour ne rien faire. Ne rien faire, rester immobile, serrer les coudes contre le corps, porter des gants. Moi j'ai les mains sales. Jusqu'aux coudes. Je la ai plong?es dans la merde et dans le sang». Cr??e en 1948 au th??tre Antoine par Fran?ois P?rier et Andr? Luguet, Les mains sales, pi?ce sur l'engagement politique, est une des ?uvres th??trales les plus retentissantes de l'auteur de Huis clos, des Mouches, de La putain respectueuse, des S?questr?s d'Altona, du Diable et le bon Dieu.» |
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«L'histoire d'un immeuble dans le Paris embelli, polic?, moralis?, rentabilis? par la r?volution hausmannienne. Le propri?taire, les locataires, le terrible concierge, des employ?s «r?sign?s comme des chevaux de man?ge», un architecte qui trompe sa femme, deux ou trois femmes hyst?riques, des gamines vicieuses, des «troupeaux de demoiselles ? marier», des th?s musicaux: pas de drame mais la m?nagerie sociale d'une ?poque au grand complet, «la pourriture d'une maison bourgeoise, des caves au grenier». Et, derri?re le d?cor «Beaux-Arts» de la fa?ade, le trou infect de la cour o? la «rancune de la domesticit?» vomit «les ordures cach?es des familles». «Toutes les baraques se ressemblent, conclut l'une des bonnes. C'est cochon et compagnie».» |
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Mme de Cl?ves prit un flambeau et s'en alla, proche d'une grande table, vis-?-vis du tableau du si?ge de Metz, o? ?tait le portrait de M. de Nemours; elle s'assit et se mit ? regarder ce portrait avec une attention et une r?verie que la passion seule peut donner. On ne peut exprimer ce que sentit M. de Nemours dans ce moment. Voir au milieu de la nuit, dans le plus beau lieu du monde, une personne qu'il adorait, la voir sans qu'elle s?t qu'il la voyait, et la voir tout occup?e de choses qui avaient du rapport ? lui et ? la passion qu'elle lui cachait, c'est ce qui n'a jamais ?t? go?t? ni imagin? par nul autre amant. |
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Je pouvais, mettre ma main dans sa main, sur son ?paule, sur sa joue, Albertine continuait de dormir. Je pouvais prendre sa t?te, la renverser, la poser contre mes l?vres, entourer mon cou de ses bras, elle continuait ? dormir comme une montre qui ne s'arr?te pas, comme une b?te qui continue de vivre quelque position qu'on lui donne, comme une plante grimpante, un volubilis qui continue de pousser ses branches quelque appui qu'on lui donne. Seul son souffle ?tait modifi? par chacun de mes attouchements, comme si elle e?t ?t? un instrument dont j'eusse jou? et ? qui je faisais ex?cuter des modulations en tirant de l'une puis de l'autre de ses cordes, des notes diff?rentes. |
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«Comment un riche Flamand se prend de passion pour la chimie et l'alchimie et veut d?couvrir le secret de l'Absolu, c'est-?-dire de l'unit? de la mati?re. Comment ce sombre g?nie ruine sa famille. Comment la science rend fou et comment Balthazar Cla?s croit d?couvrir dans ses derniers instants, et sans pouvoir le communiquer, le secret auquel il a sacrifi? ses biens, ses proches et sa vie. De tous les romans de Balzac, aucun ne justifie mieux le mot de Baudelaire: «j'ai maintes fois ?t? ?tonn? que la grande gloire de Balzac f?t de passer pour un observateur; il m'avait toujours sembl? que son principal m?rite ?tait d'?tre visionnaire et visionnaire passionn?». La Recherche de l'Absolu est aussi l'une des ?uvres les plus somptueusement pittoresques de Balzac, v?ritable tableau flamand que balaient les ombres de Rembrandt.» |
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«Balzac ? la recherche du myst?re et du culte qui est au centre de La Com?die Humaine: «Depuis quelques mois, d'Arthez ?tait l'objet de railleries de Blondet et de Rastignac qui lui reprochaient de ne conna?tre ni le monde ni les femmes. L'amour, r?duit ? ce que faisait la Nature, ?tait ? leurs yeux la plus sotte chose du monde. L'une des gloires de la Soci?t?, c'est d'avoir cr?? la femme l? o? la Nature avait fait une femelle; d'avoir cr?? la perp?tuit? du d?sir o? la Nature n'a pens? que la perp?tuit? de l'Esp?ce. D'Arthez connaissait peut-?tre la femme, mais il ignorait la divinit?». (Les Secrets de la princesse de Cadigan).» |
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«Rien ne vous pr?pare ? l'Ouest», dit le narrateur, l'?tudiant ?tranger de Philippe Labro, parti travailler tout un ?t? dans les montagnes du Colorado. Pour atteindre ce territoire irr?el et sauvage, il est d'abord confront? au peuple de la «route». Il rencontre Amy, la fille Clarke, aux cheveux fous, qui exhalent des senteurs de fleurs s?ch?es — la libert? m?me. Il vivra avec elle un grand amour, fulgurant, dont le souvenir ne cessera de le hanter. Dans l'Ouest, c'est un autre monde, celui d'hommes porteurs de myst?re: Bill, colosse imp?n?trable, recherch? par d'?tranges motards; Dick, et son regard insens? de cascadeur; Mack, qui l'initie aux secrets de la for?t. Au terme de cette aventure initiatique, qu'est devenu le jeune homme ignorant, apeur?, assoiff? de vivre et de savoir qui se faisait appeler Frenchy?» |
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«Seulement, ce soir-l?, il ne fumait pas un cigare: il fumait une cartouche de dynamite. Ce que Delphine et Saucisse regard?rent comme d'habitude, la petite brise, le petit fanal de voiture, c'?tait le gr?sillement de la m?che. Et il y eut, au fond du jardin, l'?norme ?claboussement d'or qui ?claira la nuit pendant une seconde. C'?tait la t?te de Langlois qui prenait, enfin, les dimensions de l'univers. Qui a dit: «Un roi sans divertissement est un homme plein de mis?res «?» |
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«Deux femmes, Cl?mentine et Marie. Deux mariages, deux ?poux, charmants, convenables, vivant l'amour ? la petite semaine et «soign?s comme une petite ma?tresse». Deux femmes, deux mariages, deux ?poux et, bien s?r, deux amants, vigoureux comme des tigres, de «chevelure inculte» et de regard «napol?onien». Deux amants? En fait un seul, Balzac lui-m?me, prodigieux narcisse et visionnaire amoureux qui ?voque ici une de ses conqu?tes et «r?cup?re» un de ses plus cuisants ?checs amoureux, toutes les femmes ne lui ayant pas dit, comme Mme de Berny: «dieu didi on t'aime quand m?me... malgr? la corde qui te manque». Et tous les personnages qui apparaissent dans Une fille d'Eve et deviendront les mar?chaux et les grognards de la Grande Arm?e balzacienne font de ce roman le laboratoire central de La Com?die humaine.» |
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«Je suis tomb? sur la vieille coupure de journal qui datait de l'hiver o? Ingrid avait rencontr? Riguaud. C'?tait Ingrid qui me l'avait donn?e la derni?re fois que je l'avais vue. Pendant le d?ner, elle avait commenc? ? me parler de toute cette ?poque, et elle avait sorti de son sac un portefeuille en crocodile, et de ce portefeuille la coupure de journal soigneusement pli?e, qu'elle avait gard?e sur elle pendant toutes ces ann?es. Je me souviens qu'elle s'?tait tue ? ce moment-l? et que son regard prenait une dr?le d'expression, comme si elle voulait me transmettre un fardeau qui lui avait pes? depuis longtemps ou qu'elle devinait que moi aussi, plus tard, je partirais ? sa recherche. C'?tait un tout petit entrefilet parmi les autres annonces, les demandes et les offres d'emplois, la rubrique des transactions immobili?res et commerciales: «On recherche une jeune fille, Ingrid Teyrsen, seize ans, 1,60m, visage ovale, yeux gris, manteau sport brun, pull-over bleu clair, jupe et chapeau beiges, chaussures sport noires. Adresser toutes indications ? M. Teyrsen, 39 bis boulevard Ornano, Paris».» |
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De Gentil coquelicot à Bella Ciao, ce livre rassemble plus de 200 chansons de France et d'ailleurs. Chacune est joyeusement illustrée et présentée dans sa version originale et intégrale avec sa partition, sa traduction et des commentaires. Un livre à emporter partout pour chanter en famille ou entre amis! |
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Un livre pour s'émerveiller devant un spectacle de la nature au fil des jours et des saisons. La fascination de découvrir, le plaisir des surprises, grâce à un florilège d'effets magiques aussi simples qu'efficaces. Pages transparentes, rabats, volets, tirettes, gaufrages, matières à toucher. |
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Créations originales ou reprises de chansons traditionnelles, Gallimard Jeunesse Musique a rassemblé ses plus beaux succès. Des voix d'enfants, des voix d'adultes et des instruments multicolores... 1) Savez-vous planter les choux? 2) Dans la forêt lointaine. 3) Le petit bonhomme de chemin. 4) As-tu vu le loup là? 5) Bonjour ma cousine. 6) La maman des poissons. 7) Cha cha cha des thons. 8) Les beaux yeux. 9) Mon arbre à chansons. 10) Lundi de bon matin. 11) Tuip toup toudoup. 12) Les Hippopotames. 13) J'aime la galette. 14) Ma dent de lait. 15) Elle joue du ukulélé. 16) Il était une fermière. 17) Papa mon baiser. |
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