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Gallimard-Folio
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Sirius Black, le dangereux criminel qui s'est échappé de la forteresse d'Azkaban, recherche Harry Potter. C'est donc sous bonne garde que l'apprenti sorcier fait sa troisième rentrée. Au programme: des cours de divination, la fabrication d'une potion de Ratatinage, le dressage des hippogriffes... Mais Harry est-il vraiment à l'abri du danger qui le menace? Le troisième tome des aventures de Harry Potter vous emportera dans un tourbillon de surprises et d'emotions. Frissons et humour garantis! |
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L'objectif: ce manuel n'a pas pour but de faire connaître toute la presse; il veut simplement montrer comment on peut approfondir un article de presse et en retirer du profit, tant sur le plan des idées que sur le plan de la langue. Devant l'abondance de la presse écrite, on est parfois tenté de lire vite, de survoler le texte, puis finalement d'oublier très vite ce qu'on a lu. Ce livre a pour but d'aider l'étudiant à extraire les idées principales d'un texte afin de les mémoriser pour structurer ainsi sa pensée. Le public: ce livre s'adresse à des apprenants ayant déjà une bonne maîtrise de la langue française. Nous n'avons pas visé le maniement de la langue mais la capacité de comprendre et de dominer un texte. Les articles que nous proposons sont de difficultés variées sur des sujets de société. Ce travail sera utile à des étudiants étrangers (DELF 2; DALF) comme à des étudiants français désireux d'apprendre à approfondir leurs lectures pour leur formation personnelle ou en vue de différents examens ou concours. |
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Savez-vous qui est le petit garçon le plus impertinent, le plus malin et le plus tendre aussi? À l’école ou en famille, il a souvent de bonnes idées et cela ne lui réussit pas toujours. C’est le Petit Nicolas, évidemment! Avec le 9e tome des histoires inédites du Petit Nicolas, retrouvez toute la drôlerie, la fantaisie et la tendresse du célèbre écolier. |
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«Sur la planète des Eoliens, le vent est la principale source de vie. Aussi, quand surviennent de mystérieuses «coupures de vent», c'est la catastrophe: le système de réchauffement qui protège la cité des Vents de l'avancée des glaces tombe régulièrement en panne, mettant en danger la population. Quand le Petit Prince et Renard proposent leur aide au Grand Mage, celui-ci les accuse d'être responsables de ces «coupures» Pour sauver la planète, il leur faudra découvrir le lourd secret du Grand Mage: son fils Zéphyr refuse de prendre sa succession et préfère s'adonner à sa passion, la musique, en jouant d'un orgue qui utilise le vent de la cité...» |
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Rien ne va plus pour les Utiens, le peuple de la musique, depuis qu’Euphonie, leur diva, est plongée dans un mystérieux chagrin. Sans sa douce voix, leur travail à l'usine d'instruments de musique est totalement désorganisé. Quand elle découvre l'amour du Petit Prince pour les roses, Euphonie lui confie son secret: elle est amoureuse d'Ivory, le prince des Pistillaires, le peuple des fleurs. Or les Pistillaires sont les ennemis jurés des Utiens! Leur amour est donc impossible... Pour le Petit Prince et Renard, la mission s’annonce délicate: réunir les amoureux tout en évitant une terrible guerre entre leurs deux peuples! |
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«Antigone est ma sainte», disait Cocteau. C'est pourquoi il a traduit et «contracté» la pièce de Sophocle. «... Parce que je survole un texte célèbre, chacun croit l'entendre pour la première fois». C'est dans Les mariés de la Tour Eiffel qu'on trouve la phrase célèbre: «Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d'en être l'organisateur». Sur la première plate-forme de la tour Eiffel évolue une noce bourgeoise, qui vient se faire photographier, tandis que deux phonographes commentent l'action. Une bouffonnerie qui exprime toute la déconcertante poésie du banal. |
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Andreï Makine ouvre son roman sur une scène rêvée de notre Occident. Un fantasme qui nous fera mesurer l'étendue de notre dépaysement. Les personnages appartiennent à un autre monde: le pays du grand blanc, au bord du fleuve Amour. Dans ces lieux de silence, la vie pourrait se confondre avec de simples battements de cœur si chaque mouvement de l'âme n'apportait sa révélation. Alors, le désir naît, de la sensualité des corps comme de la communion avec la nature offerte. L'amour a l'odeur des neiges vierges dans la profondeur de la taïga. L'Occident fait signe. D'abord un train qui passe, le mythique Transsibérien. Puis un film français, vision d'une existence éblouissante, appel peuplé de grandes actions et de créatures sublimes. Le vertige d'une autre histoire née sur les rives du fleuve Amour, aux berges de l'adolescence. |
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L'auteur de La petite gare, un des meilleurs nouvellistes russes d'aujourd'hui, raconte de nouveau le Grand Nord, les voyageurs pêcheurs et chasseurs, ces solitaires qu'il affectionne. Et parfois survient une femme, le temps trop court d'entrevoir le bonheur... |
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Léon est vieux. Très vieux. Léon est moche. Très moche. Léon est sale. Vraiment très sale! Léon se tient très mal à table. C'est dans sa nature... C'est triste? Non: Léon a enfin trouvé un ami, un vrai de vrai! Seulement voilà, le copain en question est un peu dérangé. Parfois dangereusement. Mais Léon est indulgent envers ses amis. Pas vous? |
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«Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Un homme plutôt désagréable. Je crois que j’ai le foie malade. D’ailleurs, je ne comprends rien du tout à ma maladie et ne sais même pas au juste ce qui me fait mal. Je ne me soigne pas et ne me suis jamais soigné. C’est bien par méchanceté que je ne me soigne pas. J’ai mal au foie! Tant mieux! Qu’il me fasse souffrir encore plus». |
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Quand, à trente-cinq ans, le docteur Mahé perd sa mère qui a toujours tout choisi pour lui, il décide de changer de vie, de vivre sans effort, et de retrouver à Porquerolles une adolescente maigre dont l'image hante ses nuits. Cet homme frustré d'autorité a une idée fixe: se faire aimer d'une petite pauvresse qui lui devrait tout. |
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Frantz Müller et Rita sont venus se réfugier dans la solitude d'une île perdue des Galapagos. Mais la civilisation ne tarde pas à les rattraper, avec son cortège de conflits et de crises... Simenon excelle dans ce récit où des personnages tourmentés cherchent vainement dans l'exotisme la solution de leurs troubles intérieurs. |
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- Un livre de plus sur l'école, alors? — Non, pas sur l'école! Sur le cancre. Sur la douleur de ne pas comprendre et ses effets collatéraux sur les parents et les professeurs. |
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Au bord de la nationale, à l'auberge du Cheval Blanc, la cuisine est renommée et la vie paraît agréable et ensoleillée. Mais le patron est un libertin qui exerce ses prérogatives sur les petites bonnes, Félix, le veilleur de nuit, est un criminel... et le drame couve. |
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«Je sentis avant de penser: c'est le sort commun de l'humanité. Je l'éprouvai plus qu'un autre. J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou six ans; je ne sais comment j'appris à lire; je ne me souviens que de mes premières lectures et de leur effet sur moi: c'est le temps d'où je date sans interruption la conscience de moi-même. Ma mère avait laissé des romans. Nous nous mîmes à les lire après souper, mon père et moi. Il n'était question d'abord que de m'exercer à la lecture par des livres amusants; mais bientôt l'intérêt devint si vif, que nous lisions tour à tour sans relâche, et passions les nuits à cette occupation. Nous ne pouvions jamais quitter qu'à la fin du volume. Quelquefois mon père, entendant le matin des hirondelles, disait tout honteux: «Allons nous coucher; je suis plus enfant que toi».» |
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«Il s'agit de cette femme, ou plutôt de cette jeune fille, enfin de cette Anglaise dont le curieux visage m'a plu pendant une heure. C'était un être bizarre. Lorsque je m'approchai d'elle pour la première fois, une grande bête dormait clans les plis traînants de sa jupe. La grande bête, dressant le museau, grogna de manière sinistre, au moment même où j'abordai l'intéressante inconnue. Malgré moi, je reculai d'un pas».» |
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Paris, une nuit de février 1578. Dans une ruelle sombre des abords de la Bastille, Louis de Clermont d'Amboise, sire de Bussy, gentilhomme courageux et loyal, tombe dans l'embuscade que les mignons du roi Henri III lui ont tendue. Seul contre cinq, il ne doit la vie sauve qu'à l'intervention providentielle d'une belle inconnue blonde comme un ange... Ainsi commence l'histoire d'amour qui forme le cœur de La Dame de Monsoreau, histoire lumineuse qui se détache sur un fond de sombres intrigues politiques et de noires rivalités de pouvoir. En 1578, en effet, la royauté est menacée de toutes parts: guerres civiles entre protestants et catholiques, ambitions du duc d'Anjou, frère cadet du roi, complot des Guises pour s'emparer du trône et promouvoir un catholicisme intégriste... D'un même élan, Dumas mène le lecteur de la petite maison des Tournelles au palais du Louvre, de l'intimité des amants au cœur du pouvoir royal, en un roman d'amour éperdu aussi bien qu'une fresque saisissante du règne du dernier des Valois. |
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François pensa: si elle commande un déca, je me lève et je m’en vais. C’est la boisson la moins conviviale qui soit. Un thé, ce n’est guère mieux. On sent qu’on va passer des dimanches après-midi à regarder la télévision. Ou pire: chez les beaux-parents. Finalement, il se dit qu’un jus, ça serait bien. Oui, un jus, c’est sympathique. C’est convivial et pas trop agressif. On sent la fille douce et équilibrée. Mais quel jus? Mieux vaut esquiver les grands classiques: évitons la pomme ou l’orange, trop vu. Il faut être un tout petit peu original, sans être toutefois excentrique. La papaye ou la goyave, ça fait peur. Le jus d’abricot, c’est parfait. Si elle choisit ça, je l’épouse… — Je vais prendre un jus… Un jus d’abricot, je crois, répondit Nathalie. Il la regarda comme si elle était une effraction de la réalité. La délicatesse a obtenu neuf prix littéraires et été traduit dans plus de quinze langues. |
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«Un jour, en revenant de Quimper, Jules Guérec renverse un petit garçon et le tue; il s'enfuit, paniqué. L'essentiel pour lui est de cacher l'accident à ses deux sœurs, les «demoiselles de Concarneau». Englué dans ses mensonges, il cherche à secouer le joug familial en rencontrant en cachette Marie, la mère du petit garçon. Mais les demoiselles refusent de le laisser les quitter pour une autre femme et décident de se battre pour le «sauver»...» |
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Le Diable, daté du 19 novembre 1889, fait partie des nombreuses œuvres (romans, nouvelles, pièces de théâtre, dialogues) encore inédites à la mort de Léon Tolstoï. La plupart d'entre elles ont été réunies en 1911 dans les Œuvres posthumes. Certains de ces textes remontent à 1883 (Le journal d'un fou), d'autres appartiennent aux dernières années de Tolstoï; mais, d'une manière générale, ils peuvent tous être répartis en deux catégories: ceux que Tolstoï a écrits par volonté morale, et ceux que lui a dictés son instinct artistique. Le Diable se rattache nettement à la première d'entre elles. Au départ, Le Diable a été inspiré à Tolstoï par un fait divers relatant le crime d'un fonctionnaire du gouvernement de Toula, Friéderichs, qui avait assassiné sa maîtresse, la paysanne Stépanida. |
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