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Книги издательства «Фолио»
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«Предлагаем вашему вниманию миниатюрный сборник цитат, афоризмов и анекдотов «Кинофразочки».» |
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«Предлагаем вашему вниманию миниатюрный сборник цитат, афоризмов, анекдотов «Кофе».» |
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«Предлагаем вашему вниманию миниатюрный сборник цитат, афоризмов, анекдотов «Курильщику».» |
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«Предлагаем вашему вниманию миниатюрный сборник цитат, афоризмов, анекдотов «Рыбаку».» |
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«Я не знаю, кто он такой — этот мсье Паскаль. Я пыталась это понять в течение всего времени, пока писала... Для себя я назвала этот роман «философской мистификацией», хотя не уверена, что это именно так. Наверняка знаю одно: этот текст был подземным родником, который сам прокладывал себе путь в темноте.» |
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«Юрий Винничук не просто один из самых известных современных авторов, он — из числа самых читаемых. Каждое его произведение или проект являются настоящим событием. Роман «Весенные игры в осенних садах» был, пожалуй, самым скандальным победителем конкурса «Книга года ВВС» (2005 г.) за всю его историю.» |
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Марина Цветаева (1892—1941) — великий поэт XX столетия. Ее творчество — это исповедь женщины с трудной судьбой, для которой поэзия и жизнь были нерасторжимы и требовали каждодневного мужества. |
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Предлагаем вашему вниманию сборник цитат и афоризмов про бабушек в миниатюрном формате. |
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Предлагаем вашему вниманию сборник цитат и афоризмов про дедушек в миниатюрном формате. |
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«В издании миниатюрного формата «Омар Хайям. Избранное» представлены русские переводы конца ХІХ — начала ХХ века и переводы Е. Фельдмана.» |
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«Марина Цветаева (1892-1941) — великий поэт XX столетия. Ее творчество — это исповедь женщины с трудной судьбой, для которой поэзия и жизнь были нерасторжимы и требовали каждодневного мужества. Уже в первых «невзрослых стихах» 1908-1911 годов в диковатой и дерзкой, застенчивой и конфликтной юной Марине угадывается гордая душа поэта.» |
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«Замечу сразу: я не приглашаю к себе в гости — на эти страницы — тех, для кого серьезное выражение лица является свидетельством ума. Как говорил барон Мюнхгаузен, именно с этим выражением делались самые большие глупости на земле. Поэтому предупреждаю: уважаемые Серьезные Люди, не тратьте время на чтение.» |
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«D'abord le titrer. Une ville. Pas une ville précise. Plutôt l'empreinte d'une ville quelconque. Son squelette. Je pensais aux histoires que j'avais dans la tête comme à des quartiers. Et j'imaginais des personnages qui étaient des rues, et qui certaines fois commençaient et mouraient dans un quartier, d'autres fois traversaient la ville entière, accumulant des quartiers et des mondes qui n'avaient rien à voir les uns avec lkes autres et qui pourtant étaient la même ville. Je voulais écrire un livre qui bouge comme quelqu'un qui se perd dans une ville.Des personnages — des rues — il y en a beaucoup: il y a un coiffeur qui le jeudi coupe les cheveux gratis, il y en a un qui est un géant, un autre qui est muet. Il y a un petit garçon qui s'appelle Gould, et une fille qui s'appelle Shatzy Shell (rien à voir avec celui de l'essence). Il y a aussi dans City deux quartiers, assez vastes, un peu décalés en arrière dans le temps. Il y a une histoire de boxe, et il y a un western. Le western, c'est quelque chose à quoi je pensais depuis des années. J'étais toujours là à essayer de m'imaginer comment diable on pouvait bien faire pour écrire la fussillade finale. Quant à la boxe, là c'est un monde dingue, superbe. Si en plus tu es qulqu'un qui écrit, tôt ou tard tu y viens. Mieux vaut tôt, me suis-je dit.»Alessandro Baricco. |
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Quoi qu'il puisse arriver, Jonas, peintre au talent reconnu, croit en sa bonne étoile — jamais elle ne cessera de l'aider et de le guider. Pourtant la vie, ses proches, ses amis, ses disciples l'acculent peut à peu à la stérilité artistique...Un ingénieur français, en mission au Brésil, est confronté aux superstitions et au mysticisme des indigènes. Mais l'amitié qu'il éprouve pour l'un d'entre eux aura raison de son scepticisme.Deux magnifiques nouvelles à la fin mystérieuse et ambiguë. |
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Un écrivain accompagne la lente déchéance d'un saxophoniste de génie, détruit par l'alcool et la drogue, Johnny Carter. Des studios d'enregistrement de Baltimore avec Miles Davis au Saint-Germain-des-Près dans les années 50, des hôtels miteux aux nuits dans les clubs de jazz, des délires paranoïaques aux fulgurances créatrices, Julio Cortázar nous offre un texte bouleversant en hommage à un des plus grands musiciens de jazz, Charlie Parker. |
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Une histoire d'amour qui finit mal (Les Nuits blanches) et, dans Le Sous-sol, un de ces superbes maniaco-dépressifs comme Dostoïevski sur les inventer avant que Freud les mît à la mode: «Je suis un homme malade... Je suis un homme méchant. Je suis un homme déplaisant. Je crois que j'ai une maladie de foie. D'ailleurs je ne comprends absolument rien à ma maladie et ne sais même pas au juste où j'ai mal. Je ne me soigne pas et ne me suis jamais soigné. Si je ne me soigne pas, c'est pure méchanceté de ma part. Je sais très bien que ce ne sont pas les médecins que j'embête en refusant de me faire soigner. Je ne fais tort qu'à moi-même; je le comprends mieux que quiconque. Et pourtant, c'est bien par méchanceté que je ne me soigne pas. J'ai mal au foie! Tant mieux». |
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«La maison des morts, c'est le bagne de Sibérie où Dostoïevski a purgé comme condamné politique une peine de quatre années de travaux forcés et de six ans de «service militaire». Mais la maison des morts, c'est aussi le Goulag. La Russie de Dostoïevski est déjà celle de Staline, de Beria, de Vychinski, des grands procès où les accusés rivalisent devant leurs procureurs de contrition et d'aveux. Comme l'écrit Claude Roy, «la Russie d'hier et la Russie moderne sont exemplaires dans la science du «châtiment» sur deux points essentiels. Elles ont poussé plus avant peut-être qu'aucun peuple l'art de donner aux tortionnaires cette paix de l'esprit que procure la bonne conscience. Elles ont su simultanément contraindre un nombre important de leurs victimes, non seulement à subir sans révolte les épreuves infligées, mais à donner à leurs tourmenteurs un total acquiescement».» |
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